Vous prendrez bien un peu de théorie (littéraire) ? Nous nous souvenons tous plus ou moins de nos « explications de texte » au collège. Lecteurs en herbe, on nous interrogeait sur l’intention de l’auteur, la construction, l’idée principale, le vocabulaire, les figures de style… Pour peu que le professeur ait été un tant soit peu passionné, ou pédagogue, ou l’un et l’autre, ce pouvait être le moyen non seulement de décrocher une bonne note aux examens, mais aussi d’inscrire dans des vies d’adultes le goût de la littérature. Tout le monde, hélas, n’a pas eu la chance d’avoir de bons professeurs de lettres et, croyez-en mon expérience, il faut alors des années d’efforts pour « détordre » en soi les mauvaises pousses d’un enseignement déficient.
Le Démon de la théorie
Le Démon de la théorie
Le Démon de la théorie
Vous prendrez bien un peu de théorie (littéraire) ? Nous nous souvenons tous plus ou moins de nos « explications de texte » au collège. Lecteurs en herbe, on nous interrogeait sur l’intention de l’auteur, la construction, l’idée principale, le vocabulaire, les figures de style… Pour peu que le professeur ait été un tant soit peu passionné, ou pédagogue, ou l’un et l’autre, ce pouvait être le moyen non seulement de décrocher une bonne note aux examens, mais aussi d’inscrire dans des vies d’adultes le goût de la littérature. Tout le monde, hélas, n’a pas eu la chance d’avoir de bons professeurs de lettres et, croyez-en mon expérience, il faut alors des années d’efforts pour « détordre » en soi les mauvaises pousses d’un enseignement déficient.